Avant tout doux pour l’intestin

Pendant l’Avent, nous sommes véritablement cernés par des produits alimentaires pas très sains: où que l’on porte le regard, chocolats et petits biscuits nous font de l’oeil, Saint-Nicolas débarque avec un sac rempli d’arachides et de biscômes, la première fondue conviviale s’invite au programme, le marché de Noël nous attire avec son vin chaud et ses beignets aux pommes, on achète plus que de raison au magasin d’alimentation – et le grand repas de Noël vient encore couronner le tout…

Avec l’arrivée du froid et le manque de luminosité, on a plus envie d’aliments caloriques riches en sucre et en lipides. La faute à l’évolution: avant, la nourriture était plus rare en hiver et il était bon d’avoir quelques bourrelets en réserve. Mais aujourd’hui, on préfèrerait généralement s’en passer. La plupart d’entre nous voulant s’en débarrasser, les centres de fitness et les diététiciens se réjouissent d’avoir tant de succès au mois de janvier. Mais le surpoids n’est pas la seule conséquence négative d’une alimentation grasse et sucrée. La consommation excessive de sucre – la population suisse en mange environ deux fois plus que la quantité recommandée – favorise aussi le diabète de type 2, les maladies cardiovasculaires et hépatiques, sans oublier les caries.

Vous trouverez l’article dans son intégralité dans l’édition actuelle d’astreaPHARMACIE du mois de novembre – disponible dans votre pharmacie.